Il n'y a plus d'eau dans la mare du poisson-chat, juste de la boue sur laquelle je tressaute encore quelques instants, attendant je ne sais quoi, guettant je ne sais plus qui.
Et ce silence, qui rugit dans mon crâne, et ces mots, tant espérés et qui manquent à l'appel. Quelque chose est en train de mourir, et combien cela est douloureux.
mercredi 9 novembre 2005
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1 commentaire:
Pourquoi ?
C'est quoi ce délire de 92 puis 89 jours ?
Je ne comprends pas.
Cela m'inquiète pour toi.
Ned
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